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Véritable fléau de notre société, le cyberharcèlement a explosé en 2020 et touche plus d’un jeune sur 10 (selon l’étude OpinionWay par l’Association e-Enfance et le Lab Heyme). A l’origine : de la jalousie, des moqueries sur le physique ou le look ou encore par vengeance.
Le confinement et l’école à la maison ont de fait diminué le harcèlement scolaire (plus de 700 000 victimes tout de même) mais le cyberharcèlement a lui augmenté de façon inquiétante.
La plateforme NetEcoute a enregistré une hausse des sollicitations de 30% ainsi qu’une augmentation des signalements.
Tentons de définir ensemble ce qu’est le cyberharcèlement avant de voir quelles solutions existent pour s’en prémunir et pour agir.
Le cyberharcèlement est une forme de harcèlement, plus insidieuse car moins visible, étant “en ligne”. On la retrouve dans les jeux vidéos, les réseaux sociaux, les SMS. Ces violences en ligne peuvent avoir comme origines principales le revenge porn (vengeance pornographique), le chantage sexuel (extorsion d’images à caractère sexuel), l’identification de comptes Ficha (dégradation de l’image de la victime).
Heureusement, des moyens existent et des initiatives voient le jour pour aider parents et enfants.
Citons par exemple Le Club de parents connectés, une initiative de Facebook et Instagram en collaboration avec l’UNAF, Génération Numérique et l’association E-enfance. Ce groupe facebook permet de converser en partageant des expériences, de trouver des conseils d’experts et de s’informer sur les risques des outils numériques.
Le numéro de téléphone national d’aide pour les jeunes victimes numériques : 3018.
Ce numéro court permet de répondre aux questions des adolescents, parents et enfants autour des usages du numérique. Ce numéro est gratuit, anonyme et confidentiel.
Mais surtout, il permet d’agir concrètement face à des contenus illégaux en étant un “Trusted flagger” (tiers de confiance) et possède une réelle “capacité d’intervention unique en France via une procédure de signalement accélérée pour obtenir la suppression de contenus ou comptes illégaux en quelques heures. Conventionné avec la plateforme Pharos (internet-signalement.gouv.fr), la Brigade Numérique de la Gendarmerie nationale (gendarmerie.interieur.gouv.fr) et le 119-Enfance en danger, le 3018 est au cœur du dispositif de la protection de l’Enfance.” source : https://www.e-enfance.org/le-3018
Le 3018 est accessible par téléphone 6 jours sur 7 de 9 heures à 20 heures, sur 3018.fr par Tchat en direct, via Messenger et WhatsApp.
Pour aller plus loin :
Enquête « Santé numérique et violences en ligne », OpinionWay, le Lab Heyme, e-enfance
Véritable fléau de notre société, le cyberharcèlement a explosé en 2020 et touche plus d’un jeune sur 10 (selon l’étude OpinionWay par l’Association e-Enfance et le Lab Heyme). A l’origine : de la jalousie, des moqueries sur le physique ou le look ou encore par vengeance.
Le confinement et l’école à la maison ont de fait diminué le harcèlement scolaire (plus de 700 000 victimes tout de même) mais le cyberharcèlement a lui augmenté de façon inquiétante.
La plateforme NetEcoute a enregistré une hausse des sollicitations de 30% ainsi qu’une augmentation des signalements.
Tentons de définir ensemble ce qu’est le cyberharcèlement avant de voir quelles solutions existent pour s’en prémunir et pour agir.
Le cyberharcèlement est une forme de harcèlement, plus insidieuse car moins visible, étant “en ligne”. On la retrouve dans les jeux vidéos, les réseaux sociaux, les SMS. Ces violences en ligne peuvent avoir comme origines principales le revenge porn (vengeance pornographique), le chantage sexuel (extorsion d’images à caractère sexuel), l’identification de comptes Ficha (dégradation de l’image de la victime).
Heureusement, des moyens existent et des initiatives voient le jour pour aider parents et enfants.
Citons par exemple Le Club de parents connectés, une initiative de Facebook et Instagram en collaboration avec l’UNAF, Génération Numérique et l’association E-enfance. Ce groupe facebook permet de converser en partageant des expériences, de trouver des conseils d’experts et de s’informer sur les risques des outils numériques.
Le numéro de téléphone national d’aide pour les jeunes victimes numériques : 3018.
Ce numéro court permet de répondre aux questions des adolescents, parents et enfants autour des usages du numérique. Ce numéro est gratuit, anonyme et confidentiel.
Mais surtout, il permet d’agir concrètement face à des contenus illégaux en étant un “Trusted flagger” (tiers de confiance) et possède une réelle “capacité d’intervention unique en France via une procédure de signalement accélérée pour obtenir la suppression de contenus ou comptes illégaux en quelques heures. Conventionné avec la plateforme Pharos (internet-signalement.gouv.fr), la Brigade Numérique de la Gendarmerie nationale (gendarmerie.interieur.gouv.fr) et le 119-Enfance en danger, le 3018 est au cœur du dispositif de la protection de l’Enfance.” source : https://www.e-enfance.org/le-3018
Le 3018 est accessible par téléphone 6 jours sur 7 de 9 heures à 20 heures, sur 3018.fr par Tchat en direct, via Messenger et WhatsApp.
Pour aller plus loin :
Enquête « Santé numérique et violences en ligne », OpinionWay, le Lab Heyme, e-enfance